En vrac et en désordre

C'est mon blog à moi même. Je vais y écrire plein de choses vraiment pas intéressantes, si j'en prends le temps. Après je l'enverrai à tous mes amis qui s'en foutent et "ça sera super".

Friday, June 15, 2007

Stephen Clarke: A year in the Merde + Merde Actually

Critique de Florence Meney de la rubrique littéraire du guide culturel de Radio Canada.
http://www.radio-canada.ca/culture/modele-document.asp?section=livres&prov
=critique&idRegion=1&idEntite=4013

C'était tellement vrai et cela décrit si bien le livre que je l'ai laissé tel quel (voir ci dessous). A-t-on le droit en citant la source? Je ne sais pas. Il faudra que je me renseigne.
De toute façon, ces deux livres sont délectables. Ils n'ont fait que deux jours sur ma table de nuit.
Il faut les lire en anglais absolument. Plus qu'une bonne partie de rigolades, on pouffe de rire jusque dans son sommeil. Une critique tellement vraie et si amusante lorsque l'on connait un peu nos amis britanniques. Un humour anglais délicieux sur fond de satire sociale dont nous sommes, nous, pauvres français, les victimes.

"Paul West, est un jeune cadre dynamique qui débarque, avec ses a priori, son bon vouloir, sa libido débordante et son français débordé, sur les trottoirs pleins de crottes de chien d'un Paris déterminé à lui mener la vie dure. C'est l'occasion de délires de clins d'oeil, de remarques pertinentes et impertinentes sur les moeurs étranges des Français, véritables Martiens mal embouchés et adeptes de l'oisiveté collective mariée à un individualisme forcené. Le tout dans une langue leste, imagée, qui entrechoque comme un boc de bière tiède avec un verre de Sauterne les idées reçues anglaises aux excès français.

Que les Françaises sont des allumeuses, que les fromages qui puent le pis de vache font l'ordinaire du Français moyen, que les serveurs parisiens vous méprisent plutôt que de vous servir, que les conflits, la petite corruption et les passes-droits émaillent les rapports quotidiens, dans le travail surtout, que la bouffe est reine et la minceur impératrice chez les habitants de l'Hexagone, on le savait. Mais Stephen Clarke l'illustre avec verve, avec esprit, son évidente méchanceté (qu'il nie) camouflée sous un humour pinçant (très anglais, non?), par les yeux ébahis du jeune naïf qui perdra sa virginité pour devenir un requin parmi les requins et réussir à dire en bout de course : « La merde est bien là, comme on le voit, et elle peut même vous porter chance. Tant que c'est un autre qui met le pied dedans. »"

2 Comments:

At 9:36 AM, Anonymous Anonymous said...

c'est quoi le titre exact que je puisse rire aussi ?

 
At 12:53 AM, Blogger Caro en 4 lettres said...

Le premier bouquin est "a Year in the Merde". La suite s'intitule "Merde actually"

 

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